Pourquoi se syndiquer ?

Si la légitimité du syndicalisme n’est pas seulement lié au nombre d’adhérents c’est pourtant un élément essentiel. Un taux bas de syndicalisation est une faiblesse même s’il est compensé en partie par une participation élevée aux élections professionnelles et à l’existence de mouvements sociaux importants (2005, 2003,1995) qui ont pu se développer avec l’appui des organisations syndicales.

Par ailleurs, la force du syndicalisme tient à sa capacité d’élaborer des revendications portées par les salariés, à organiser des actions qui rassemblent le plus grand nombre. Or définir des positions et des actions à mener gagne en efficacité lorsque déjà cela peut s’appuyer sur des débats menés régulièrement au sein du syndicat. D’où la nécessité d’être le plus grand nombre de syndiqués ! Et encore plus si l’on veut changer des pratiques, afin d’avoir le syndicat que l’on souhaite…

Il est indispensable, d’informer par la presse écrite ou par internet, d’imprimer des tracts, d’avoir une sono, des ballons, des banderoles, etc. Or les cotisations représentent une part importante de nos moyens financiers (par exemple la section départementale reçoit de la FSU nationale une somme proportionnelle au nombre d’adhérents des syndicats du 77). Il n’y a pas de syndicalisme efficace sans argent…

Enfin, il ne faut pas oublier que les syndicats sont les garants du paritarisme ; les élus des personnels contrôlent le déroulement de nos carrières, affectations, avancement, mutations, notations. Ce suivi sera d’autant plus efficace si l’on est syndiqué.

La FSU étant une fédération, c’est auprès des syndicats qui la composent qu’il faut s’adresser pour adhérer, voir la page fsu nationale, dans le bandeau vertical à gauche

SE SYNDIQUER, UN MOYEN POUR AGIR ET UNE NÉCESSITÉ POUR LUTTER !